#Newsletter Prismes
« Mieux communiquer sur les sujets de transition écologique », une formation pour garantir un conseil exigeant à tous nos clients.

Tout au long de ce numéro de Prismes, nous répétons à quel point la formation nous semble être la clé en de nombreuses circonstances.
C’est particulièrement vrai en matière de communication RSE.
On a longtemps pensé que la RSE n’était pas une expertise en soi…Finalement, n’est-ce pas simplement une question de bon sens et de logique… ? En conséquence, on en confiait les rênes tantôt aux directions de la communication, tantôt aux directions financières ou juridiques…
Puis, en témoignent les nombreuses évolutions de ces dernières années, on a compris que les enjeux du modèle d’affaire, la question des impacts, la conduite du changement sous-tendue dans la prise en compte de ces enjeux, relevaient de la stratégie d’entreprise, de la compréhension fine de la complexité d’enjeux interconnectés.
Désormais devenue une réelle expertise, ce n’est pour autant pas sa finalité ultime. La RSE aura tout gagné quand elle n’existera plus…
Cela signifiera alors que l’ensemble des parties prenantes auront une compréhension fine des enjeux et impacts et pourront les intégrer by design dans leurs propres recommandations métiers. Car c’est à cet endroit que le pouvoir d’agir se situe.
Ce constat vaut pour la communication qui a un rôle important à jouer. L’institut Imagine 2050 l’a bien résumé dans l’article qu’il a dédié à sa collaboration avec Rumeur Publique : « l’information joue un rôle crucial dans les démocraties. En effet, les médias influencent les comportements, les décisions politiques et les choix économiques. Et au cœur de ce flux d’informations, les relations publics occupent une place stratégique dans le cadrage médiatique des sujets. »
Nous avons en effet confié à Imagine 2050, spécialiste du secteur de la communication et des médias, le soin de développer une formation spécifiquement adaptée aux métiers des relations médias en agence.
La posture est différente de celle d’un journaliste qui sélectionne des sujets et les retranscrit à l’aune d’une problématique donnée. En agence, nous créons l’information sur la base de la stratégie et de la demande de nos clients, pour déclencher l’intérêt.
C’est notre bonne compréhension globale, notre connaissance fine des enjeux qui nous permettent de proposer un angle, un cadrage médiatique pertinent et intéressant.
Et c’est là que cette formation prend tout son sens : acquérir une vue globale et être capable d’interroger une action certes à l’aune de la décarbonation par exemple, mais aussi à l’aune de tous les autres enjeux qui y sont interconnectés, ne pas oublier les enjeux sociaux sous-jacents, c’est démontrer de manière encore plus crédible la pertinence des actions de nos clients.
C’est aussi être en mesure d’alerter si une action n’est pas assez solidement argumentée pour en faire un sujet de communication et ainsi éviter les risques réputationnels liés au greenwashing.
C’est pourquoi nous avons choisi le donut pour illustrer notre propos, en référence à la théorie du Donut de l’économiste Kate Raworth, qui a conçu un modèle économique dit soutenable, qui se situe entre un plancher social minimal et un plafond environnemental à ne pas dépasser (Cf. les 9 limites planétaires).
Comprendre et questionner les sujets de manière « écosystémique » comme disent les experts de la RSE, c’est assurer une prestation conseil pertinente et une qualité garantie.
Cette première session pilote a rempli les attentes. Une seconde session est en préparation pour la rentrée, avec encore plus de cas pratiques.
Cette formation a été mise en place dans le cadre de la feuille de route liée à la démarche UNIVERSE de Rumeur Publique (Pilier « La com’ responsable dans nos têtes »). Nous avons pour objectif de former l’ensemble de nos collaborateurs et collaboratrices d’ici fin 2026.
Caroline Danton – Directrice conseil RSE
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