Quand PwC France et Maghreb se mobilise pour l’optimisme.

12 décembre 2024

« Le pessimisme est d’humeur, l’optimisme est de volonté » Alain

 

N’est-il pas temps de reprendre confiance ?

Le manque de confiance et d’optimisme coûte cher. Il prive les personnes comme les entreprises de l’élan nécessaire pour entreprendre, investir, inventer et construire ensemble un monde plus en phase avec nos aspirations en matière d’écologie, d’équité et de bien-être au quotidien.

Or, les Français expriment depuis plus de deux décennies un net penchant au pessimisme. Une dégradation du moral des ménages en France est observée depuis le début des années 2000. Tandis que les décennies des années 70 à 90 ont été marquées par une certaine volatilité de l’humeur, avec une alternance de hauts et de bas, le passage à l’an 2000 a débouché sur une détérioration persistante de la psychologie des ménages. Ces derniers ont sombré dans une morosité latente. Doit-on s’y résigner pour autant ?

 

Au lendemain du succès mondial des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, dont PwC France était partenaire officiel, le cabinet propose de saisir ce moment décisif pour transformer l’essai.

Un premier sondage[1] grand public OpinionWay démontre ce regain d’optimisme : 74% des Français se disent largement optimistes et 9% considèrent qu’ils sont très optimistes.

La seconde étude[2] menée auprès de dirigeants de grandes entreprises enfonce le clou : 94% des dirigeants d’entreprise se disent optimistes dans leur vie professionnelle. L’optimisme est clairement perçu comme la pierre angulaire de l’esprit entrepreneurial.

Toutefois, le point peut-être le plus important de cette enquête est que 45% des Français et 61% des chefs d’entreprise considèrent que l’optimisme va au-delà d’une disposition ou d’un état. Ils considèrent l’optimisme comme le fruit de leur volonté.

 

Fait remarquable, les Français voient plus d’opportunités que de risques dans les enjeux actuels (changement climatique, tensions politiques internationales, instabilité économique…).

 

Ces études ont donné le coup d’envoi en octobre dernier d’un programme de Brand Content orchestré par Rumeur Publique et conçu en partenariat avec Les Echos. Outre les deux études sur l’optimisme, le projet regroupe :
– Un programme de tribunes signées par les associés de PwC France et Maghreb
– Une série de conversations filmées mêlant réflexions philosophiques et enjeux stratégiques actuels.

 

Le premier épisode de ces conversations animées par Olivier Provost est en ligne.

Etienne Klein, philosophe des sciences et directeur de recherches au CEA, et Emmanuel Benoist, associé membre du comité de direction de PwC France et Maghreb, se sont entretenus sur l’optimisme des entrepreneurs et dirigeants d’entreprise, et sur l’art de la prise de risque, essentielle pour construire l’avenir. Rationnels de profession, ils ont également exploré la part d’intangible qui enrichit toute prise de décision.

« La défiance, si elle semble être une attitude plutôt saine, est en fait bloquante. La confiance, c’est presque la condition préalable à l’action. » Etienne Klein

« Dans la réussite d’une entreprise, il y a une part de prise de risque, de capacité à atteindre quelque chose de complexe, de compliqué, avec un chemin qui n’est pas totalement prédéfini. » Emmanuel Benoist

 

Un nouvel épisode vient de paraitre : « Et si le sport nous montrait comment mettre la tech au service de l’humain ? ». Marie-Amélie Le Fur, championne paralympique, et Xavier Crépon, associé membre du comité de direction de PwC France et Maghreb, ont croisé leurs perspectives autour de la technologie comme levier d’amélioration, dans le sport et bien au-delà, dès lors qu’elle est développée au service de l’humain.

Le tout animé par Cédric Landu, directeur du Pôle Tech de l’agence.

 

Et ce n’est qu’un début : consultez le programme !

 

 

[1] Sondage réalisé par téléphone du 19 au 26 août 2024 auprès de 2562 Français âgés de 18 ans et plus.

[2] Sondage réalisé par téléphone du 19 août au 3 septembre 2024 auprès de 50 dirigeantes et dirigeants de grandes entreprises.-