Bien-être au travail: faut-il remettre en cause la façon de penser et d’organiser le travail dans les entreprises françaises?
Dropbox et Ipsos MORI ont mené l’enquête et présenté les résultats lors d’un déjeuner-débat organisé par Rumeur Publique en compagnie de Philippe Burger, Associé Capital Humain chez Deloitte ; Julien Hagege, évangéliste Dropbox France et les témoignages de Matthieu Laudereau, CEO, Convictions RH et Gautier Piat, responsable au sein du département IT chez Lagardère Active.
Depuis sa création, Dropbox étudie et analyse les comportements au travail et la façon dont les collaborateurs s’organisent. C’est pourquoi Dropbox et Ipsos MORI ont mené une enquête* mondiale auprès de près de 5000 employés (1 300 responsables informatiques et 3 500 collaborateurs, dont 700 en France) utilisant des outils informatiques au quotidien. Le but ? Questionner à l’ère du numérique, la façon de penser et d’organiser le travail dans les entreprises françaises et internationales.
L’étude dresse une typologie de 4 types de collaborateurs : les « autonomes » (ayant la liberté de choix de travailler en mobilité ou à la maison) répartis en « collaboratifs » (242 personnes de l’échantillon) ou « non-collaboratifs » (190 personnes), et les “Non autonomes’” eux aussi répartis en « collaboratifs » (54 personnes) ou « non-collaboratifs » (214 personnes). Être collaboratif, c’est bénéficier les outils pour échanger de manière régulière avec différentes entités dans et hors l’entreprise pour mener à bien leurs missions professionnelles.